La pasteurisation du lisier et ses avantages pour une exploitation d’élevage
La pasteurisation du lisier et ses avantages pour une exploitation d’élevage
Il existe plusieurs méthodes de traitement du fumier brut pour éviter la contamination des eaux souterraines et du sol. Grâce à ces procédés, nous pouvons également améliorer la qualité des engrais organiques et réduire le coût de l’élevage. De nombreux agriculteurs qui se sont lancés dans l’élevage ont des problèmes avec la gestion du fumier brut. En effet, cela les affecte directement sur le plan financier : le stockage du fumier brut coûte avant tout de l’argent. C’est pourquoi de nombreuses petites exploitations n’ont mis en place aucun programme de gestion du fumier pour réduire l’impact sur la contamination des sols et des eaux souterraines. Cependant, il existe plusieurs méthodes pour réduire la pollution dans les exploitations d’élevage, notamment le traitement thermique ou la pasteurisation du lisier, et leurs avantages pour une exploitation d’élevage.
Qu’est-ce que la pasteurisation du fumier ?
La pasteurisation du fumier consiste à chauffer le fumier à une température élevée pour tuer les bactéries pathogènes. Ce processus permet d’éliminer les agents pathogènes, de réduire les odeurs et de créer un compost qui peut être appliqué sur le sol. Après avoir chauffé le fumier, le produit obtenu est appelé « lisier ». La pasteurisation du fumier se produit lorsqu’il est chauffé à une certaine température. Il est important de connaître la température de pasteurisation du fumier car elle dépend de l’application. La pasteurisation du fumier est un procédé par lequel les bactéries anaérobies, qui provoquent des odeurs et émettent des gaz à effet de serre, sont tuées par la chaleur. Cela peut se faire par un processus appelé « compostage contrôlé », dans lequel le fumier est empilé et laissé se réchauffer naturellement, ou par digestion anaérobie, dans laquelle le processus est accéléré par l’ajout d’eau, d’oxygène et/ou de mélange mécanique.
Avantages de la pasteurisation du fumier
La pasteurisation du fumier présente de nombreux avantages. Certains d’entre eux sont énumérés ci-dessous : – Environnement : Les agents pathogènes, les parasites et les graines de mauvaises herbes présents dans le fumier peuvent se déplacer dans l’eau, le sol et l’air et se propager à d’autres zones. Cela peut entraîner une contamination de l’environnement, qui peut nuire aux humains, aux animaux et aux cultures. La pasteurisation du fumier tue les agents pathogènes présents dans le fumier, ce qui réduit le risque de contamination de l’environnement. – Production végétale : Les bactéries pathogènes, les graines de mauvaises herbes et les parasites présents dans le fumier peuvent endommager les cultures et réduire leur production. La pasteurisation du fumier tue ces agents pathogènes et réduit le risque de dommages aux cultures. – Santé du bétail : les maladies et les parasites présents dans le fumier peuvent être transmis au bétail, entraînant une diminution de la croissance et de la prise de poids, une réduction de la production laitière, voire la mort. La pasteurisation du fumier tue les agents pathogènes présents dans le fumier, ce qui réduit le risque de transmission de maladies et de parasites au bétail. – Retour sur investissement : Le fumier est une source importante d’éléments nutritifs pour les cultures, mais les agents pathogènes présents dans le fumier peuvent réduire sa valeur en tant qu’engrais. La pasteurisation du fumier tue les agents pathogènes présents dans le fumier, ce qui augmente sa valeur en tant qu’engrais.
Pourquoi la pasteurisation du fumier est-elle nécessaire ?
Le fumier est chauffé pour tuer les bactéries pathogènes et produire du lisier. Le lisier est également appelé fumier exempt d’agents pathogènes. La raison principale est que les agents pathogènes sont tués par la température élevée du fumier pendant le processus de chauffage. Les agents pathogènes sont des bactéries, des virus et des champignons qui provoquent des maladies. Les agents pathogènes sont naturellement présents dans le fumier et peuvent pénétrer dans le corps humain par inhalation et ingestion. Le fumier est appliqué sur le sol comme engrais et l’eau est utilisée pour tuer les agents pathogènes. L’eau est fournie au sol par un système d’arrosage. Cette eau n’est pas gratuite. L’approvisionnement en eau est également nécessaire pour éliminer les agents pathogènes. Le sol, cependant, n’est pas gratuit. L’épandage d’eau et de terre est nécessaire pour tuer les agents pathogènes, mais il entraîne également une contamination du sol et de l’eau. La pasteurisation du fumier peut prévenir cette contamination en éliminant les agents pathogènes et en réduisant les besoins en terre et en eau.
Comment s’effectue la pasteurisation du fumier ?
Le lisier peut être chauffé avec un générateur de biogaz, un biofiltre ou un bioréacteur. Les générateurs de biogaz sont généralement utilisés pour des opérations à petite échelle. Le biofiltre piège les agents pathogènes, les bactéries et les odeurs et est idéal pour les opérations de taille moyenne. Les bioréacteurs sont utilisés pour les opérations à grande échelle et peuvent fournir une température plus constante. La température de la pasteurisation du fumier est contrôlée à l’aide d’un thermomètre. Le thermomètre est placé au centre du fumier pour mesurer la température. Des générateurs de biogaz, des biofiltres et des bioréacteurs sont utilisés pour contrôler la température du fumier.
Types de méthodes de pasteurisation du fumier
– Processus à chaud : Le procédé à chaud est une méthode de digestion anaérobie impliquant l’utilisation d’effluents d’élevage. Le fumier est un ingrédient clé de la production de biogaz, car il est riche en matières organiques et en nutriments. Le processus de digestion anaérobie du fumier peut tuer les agents pathogènes et produire un engrais appelé biopurine. Le fumier est chauffé à une température spécifique, généralement comprise entre 55 et 60 degrés Celsius, afin de tuer les agents pathogènes et de produire un engrais sans pathogènes. Le fumier est chauffé avec de l’oxygène et de l’eau. En outre, le biogaz produit par ce processus peut être utilisé pour la cuisine, le chauffage et la production d’électricité. – Procédé HOT-HOT : Le procédé HOT-HOT est une méthode de digestion anaérobie utilisant du fumier provenant de sources multiples. Il s’agit d’une forme avancée du procédé à chaud. Le processus consiste à chauffer le fumier à haute température et à l’appliquer sur le sol. Un générateur de biogaz est utilisé à cet effet. Le fumier est un ingrédient clé de la production de biogaz, car il est riche en matières organiques et en nutriments. Le processus de digestion anaérobie du fumier permet de tuer les agents pathogènes et de produire un engrais sans pathogènes. – Procédé à vapeur : Le procédé à vapeur est une méthode de production d’électricité par l’énergie thermique. L’énergie thermique est le résultat de la chaleur et est utilisée pour produire de la vapeur. L’énergie thermique est produite par le fumier.
Dernières paroles
Le fumier est un excellent engrais naturel, mais il peut aussi être une source de maladies, car il contient souvent un certain nombre de bactéries pathogènes. Il s’agit notamment de E. coli, Salmonella et Clostridium. Heureusement, il est facile de pasteuriser le fumier et d’éliminer ces agents pathogènes. Trois méthodes peuvent être utilisées pour pasteuriser le fumier : le procédé à chaud, le procédé à vapeur ou le procédé à chaud. Le procédé à chaud est le plus courant et consiste à chauffer le fumier à environ 60 degrés Celsius pendant 16 heures. Le procédé à la vapeur est légèrement plus avancé et consiste à chauffer le fumier à 90 degrés pendant 24 heures. Nous espérons que vous avez maintenant une meilleure compréhension de la façon de pasteuriser le fumier. Alors sortez les pelles et commencez à creuser.